Relations constructives avec les kto
Publié : mer. 28 avr. 2004 19:26
Est-t’il nécessaire de nier autrui pour être soi, je me pose la question.
Alors que certains font le choix d’entretenir la culture de la haine, du mépris et de la dérision dans leurs rapports avec l’Eglise catholique romaine, le primat de l’Eglise de Grèce, conscient des réalités présentes auxquelles sont confrontées le christianisme et la civilisation chrétienne et sans faire aucune concession sur la Foi, fait celui de la collaboration constructive. En vue d’expliquer l’envoi d’une délégation de l’archevêché d’Athènes auprès du Pape le 11 mars 2002, Mgr Christodoulos, a en effet écrit :
« L’envoi de la délégation de notre Eglise dans l’Eglise de Rome vise à créer un pont de communication, de réconciliation et de confiance entre nous dans l’Union Européenne, afin que notre témoignage de chrétiens soit plus intense, plus crédible et plus efficace dans une société qui est sur le point de perdre les valeurs traditionnelles de la foi dans le Christ Rédempteur. Sans nier les réalités dogmatiques et doctrinales qui nous séparent et empêchent notre oratio communis et la communio in sacris, nous sommes malgré tout en mesure de travailler ensemble dans le domaine social, culturel, éducatif, écologique, de la bioéthique, pour le bien de l’Humanité »
Il est à noter que, contrairement à plusieurs autres Eglises locales, l’Eglise de Grèce n’a pas envoyé de représentant à Assise, le 24 janvier 2002, lors de la rencontre des religions pour la paix, présidée par Jean-Paul II, ce qui dénote, une fois de plus, à quel point Elle prend au sérieux l'orthodoxie.
Alors, la voie tracée par le perspicace hiérarque ne serait-elle pas celle qu’il conviendrait de suivre ?
Alors que certains font le choix d’entretenir la culture de la haine, du mépris et de la dérision dans leurs rapports avec l’Eglise catholique romaine, le primat de l’Eglise de Grèce, conscient des réalités présentes auxquelles sont confrontées le christianisme et la civilisation chrétienne et sans faire aucune concession sur la Foi, fait celui de la collaboration constructive. En vue d’expliquer l’envoi d’une délégation de l’archevêché d’Athènes auprès du Pape le 11 mars 2002, Mgr Christodoulos, a en effet écrit :
« L’envoi de la délégation de notre Eglise dans l’Eglise de Rome vise à créer un pont de communication, de réconciliation et de confiance entre nous dans l’Union Européenne, afin que notre témoignage de chrétiens soit plus intense, plus crédible et plus efficace dans une société qui est sur le point de perdre les valeurs traditionnelles de la foi dans le Christ Rédempteur. Sans nier les réalités dogmatiques et doctrinales qui nous séparent et empêchent notre oratio communis et la communio in sacris, nous sommes malgré tout en mesure de travailler ensemble dans le domaine social, culturel, éducatif, écologique, de la bioéthique, pour le bien de l’Humanité »
Il est à noter que, contrairement à plusieurs autres Eglises locales, l’Eglise de Grèce n’a pas envoyé de représentant à Assise, le 24 janvier 2002, lors de la rencontre des religions pour la paix, présidée par Jean-Paul II, ce qui dénote, une fois de plus, à quel point Elle prend au sérieux l'orthodoxie.
Alors, la voie tracée par le perspicace hiérarque ne serait-elle pas celle qu’il conviendrait de suivre ?