La persécution des premiers chrétiens
Modérateur : Auteurs
La persécution des premiers chrétiens
...
Dernière modification par thierry le sam. 17 juil. 2010 14:40, modifié 1 fois.
Je ne comprends pas bien le sens de cette demande.
Nous savons tous que l'Apocalypse n'est pas un manuel d'histoire. C'est une révélation, une prophétie.
Et ce que dit le Christ à Jean, c'est : "Écris donc ce que tu as vu, et qui est, et qui va arriver dans la suite"...
J'en déduirais plutôt que ce qu'il écrit à l'ange de l'Église de Smyrne concerne la fin des temps, et non le temps de la vie de Jean.
Et que ceux qui ne sont pas de vrais Juifs, mais qui blasphèment au contraire en se disant Juifs, ce sont ceux des Juifs qui se sont constitués en une Synagogue de Satan, en suivant le rabbinat talmudique après la dispersion au lieu de suivre les douze apôtres appelés à siéger pour juger les douze tribus d'Israël.
Parce que, ne reconnaissant pas leur Messie, il ont cessé d'être une véritable Synagogue : ils ne sont pas entrés dans l'Église, mais l'ont au contraire persécutée. Il est clair que pour la persécuter, ils ne pouvaient pas suivre deux maîtres : pour obéir à l'un, ils devaient mépriser l'autre. Et ceux des chefs du peuple qui les ont poussés à assassiner l'Évêque Jacques en le précipitant du haut du pinacle du Temple ne pouvait , en accomplissant ce meurtre allégorique, que les pousser à servir Satan!
Dans l'Écriture, ce qui est dit deux fois est irrévocable, ce qui est fait deux fois est confirmé, "accompli". Même si on s'en tient à leur certitude (que Jésus n'était pas le Verbe de Dieu incarné) il n'en est pas moins évident qu'en tuant Jacques, ils versaient pour la deuxième fois le Sang du Messie, son frère. Et pour nous qui l'avons suivi, il est aussi clair qu'en tuant l'Évêque, ils tuaient son Maître une deuxième fois. Dans la Liturgie, l'Évêque siège sur le "trône élevé" : celui du Christ.
Il n'y a qu'à ouvrir les yeux et à regarder autour de soi pour constater que ce faux judaïsme est en effet en train de recueillr sur toute la planète l'héritage que le Messie a refusé, quand le Tentateur l'a emmené sur une montagne très élevée pour Lui montrer tous les royaumes de la terre et leur gloire, et lui a dit : "Tout cela, je te le donnerai si tu tombe, prosterné, devant moi".
Eux l'ont accepté, et se sont mis de l'autre côté de la barrière qui sépare ceux qui ont choisi Dieu et qui iront à sa droite - et ceux qui ont choisi Satan, et qu'Il enverra à sa gauche.
Nous voyons bien à quel point leur apostasie a mis entre leurs mains tous les fils de la puissance mondiale : pouvoir, information, industrie, banque, guerre ...et bientôt : "jusqu'aux étoiles". C'en est même arrivé au point que les Juifs pieux qui sont à Jérusalem se voient refuser par leur propre gouvernement la reconstruction du Temple de Jérusalem ... de peur que cela choque le véritable gouvernement occulte d'Israël, c'est à dire la puissance mondiale juive qui siège aux Etats-Unis – et sans le soutien de qui un Sharon ne pourrait du reste pas accomplir ce qu’il accomplit en ce moment ! Tout cela me paraît bien suffisamment évident, non ?
Que disent les Pères, à propos de l'Apocalypse ?
Y en a-t-il qui aient défendu la thèse d'une Apocalypse... qui serait limitée au temps de l'empire romain ?!
Nous savons tous que l'Apocalypse n'est pas un manuel d'histoire. C'est une révélation, une prophétie.
Et ce que dit le Christ à Jean, c'est : "Écris donc ce que tu as vu, et qui est, et qui va arriver dans la suite"...
J'en déduirais plutôt que ce qu'il écrit à l'ange de l'Église de Smyrne concerne la fin des temps, et non le temps de la vie de Jean.
Et que ceux qui ne sont pas de vrais Juifs, mais qui blasphèment au contraire en se disant Juifs, ce sont ceux des Juifs qui se sont constitués en une Synagogue de Satan, en suivant le rabbinat talmudique après la dispersion au lieu de suivre les douze apôtres appelés à siéger pour juger les douze tribus d'Israël.
Parce que, ne reconnaissant pas leur Messie, il ont cessé d'être une véritable Synagogue : ils ne sont pas entrés dans l'Église, mais l'ont au contraire persécutée. Il est clair que pour la persécuter, ils ne pouvaient pas suivre deux maîtres : pour obéir à l'un, ils devaient mépriser l'autre. Et ceux des chefs du peuple qui les ont poussés à assassiner l'Évêque Jacques en le précipitant du haut du pinacle du Temple ne pouvait , en accomplissant ce meurtre allégorique, que les pousser à servir Satan!
Dans l'Écriture, ce qui est dit deux fois est irrévocable, ce qui est fait deux fois est confirmé, "accompli". Même si on s'en tient à leur certitude (que Jésus n'était pas le Verbe de Dieu incarné) il n'en est pas moins évident qu'en tuant Jacques, ils versaient pour la deuxième fois le Sang du Messie, son frère. Et pour nous qui l'avons suivi, il est aussi clair qu'en tuant l'Évêque, ils tuaient son Maître une deuxième fois. Dans la Liturgie, l'Évêque siège sur le "trône élevé" : celui du Christ.
Il n'y a qu'à ouvrir les yeux et à regarder autour de soi pour constater que ce faux judaïsme est en effet en train de recueillr sur toute la planète l'héritage que le Messie a refusé, quand le Tentateur l'a emmené sur une montagne très élevée pour Lui montrer tous les royaumes de la terre et leur gloire, et lui a dit : "Tout cela, je te le donnerai si tu tombe, prosterné, devant moi".
Eux l'ont accepté, et se sont mis de l'autre côté de la barrière qui sépare ceux qui ont choisi Dieu et qui iront à sa droite - et ceux qui ont choisi Satan, et qu'Il enverra à sa gauche.
Nous voyons bien à quel point leur apostasie a mis entre leurs mains tous les fils de la puissance mondiale : pouvoir, information, industrie, banque, guerre ...et bientôt : "jusqu'aux étoiles". C'en est même arrivé au point que les Juifs pieux qui sont à Jérusalem se voient refuser par leur propre gouvernement la reconstruction du Temple de Jérusalem ... de peur que cela choque le véritable gouvernement occulte d'Israël, c'est à dire la puissance mondiale juive qui siège aux Etats-Unis – et sans le soutien de qui un Sharon ne pourrait du reste pas accomplir ce qu’il accomplit en ce moment ! Tout cela me paraît bien suffisamment évident, non ?
Que disent les Pères, à propos de l'Apocalypse ?
Y en a-t-il qui aient défendu la thèse d'une Apocalypse... qui serait limitée au temps de l'empire romain ?!
Dernière modification par eliazar le jeu. 03 juin 2004 22:50, modifié 2 fois.
Ces deux manières de lire me semblent aussi convaincantes l’une que l’autre. L’une complète et éclaire l’autre plutôt qu’elle ne l’élimine.
En proférant les paroles que Dieu met dans leur bouche (et du reste qu’ils ne comprennent pas forcément), les prophètes s’expriment dans un temps qui est le temps de Dieu – et le temps de Dieu est hors du temps, il englobe passé, présent et avenir. C’est le temps de « ce qui doit arriver », exprimé avec les images et dans le langage de ce que nous pouvons re-connaître - ce qui est arrivé déjà et qui nous est donc plus compréhensible.
La prophétie donnée par Dieu à son "porte-parole" est également apophatique, si j’ose dire.
Et les faits (ceux que nous appelons l’Histoire, parce qu’ils ont été déjà accomplis dans le temps passé) sont eux aussi des prophéties, d’une certaine manière et dans de certaines limites – tout en étant vraiment historiques. C’est un peu comme le « tout est dans tout » de la sagesse antique, mais je ne saurais l’exprimer de manière aussi claire que vous semblez le demander.
Je le répète : je ne suis pas exégète, ni théologien.
Que disent les Pères ? Que dit la Tradition ?…
En proférant les paroles que Dieu met dans leur bouche (et du reste qu’ils ne comprennent pas forcément), les prophètes s’expriment dans un temps qui est le temps de Dieu – et le temps de Dieu est hors du temps, il englobe passé, présent et avenir. C’est le temps de « ce qui doit arriver », exprimé avec les images et dans le langage de ce que nous pouvons re-connaître - ce qui est arrivé déjà et qui nous est donc plus compréhensible.
La prophétie donnée par Dieu à son "porte-parole" est également apophatique, si j’ose dire.
Et les faits (ceux que nous appelons l’Histoire, parce qu’ils ont été déjà accomplis dans le temps passé) sont eux aussi des prophéties, d’une certaine manière et dans de certaines limites – tout en étant vraiment historiques. C’est un peu comme le « tout est dans tout » de la sagesse antique, mais je ne saurais l’exprimer de manière aussi claire que vous semblez le demander.
Je le répète : je ne suis pas exégète, ni théologien.
Que disent les Pères ? Que dit la Tradition ?…
Pardonnez-moi, Thierry : je me suis couché tôt hier et levé tard ce matin.
Vous raisonnez, Thierry, vous n’écoutez pas. Votre raisonnement est d’une telle logique qu’il en devient assourdissant. Mais Dieu n’est pas dans la tempête de l’intelligence des hommes, ni dans le bruit du tonnerre. Quand il se réfugia enfin dans une grotte de la montagne de Dieu, l’Horeb, notre père Élie l’a appris (à notre usage) : YHWH n’était pas dans le vent violent et fort, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu – mais dans le son d’une brise légère. Et « dès qu’Élie l’entendit, il se voilà la face de son manteau, sortit et se tint à l’entrée de la grotte ; et voici qu’une voix lui parvint… ».
Il y a des connaissances qui ne sont pas dans les accumulations, ni les assertions ni les recoupements de l’intelligence humaine : il nous est bon, pour ce qui est de la Parole de Dieu, de nous tenir humblement à l’entrée de notre grotte et de nous voiler la face. C’est probablement la raison du sens originel de notre signe de croix, de l’épaule droite à l’épaule gauche : nous refermons sur nous le manteau de notre père Élie ; et alors, nous pouvons entendre le son de la brise légère. Si cela est, alors nous devinons un peu pourquoi les chrétiens mal menés, en Occident, ont inversé le sens de leur Signe distinctif : en se signant de l’épaule gauche à l’épaule droite, ils ont voulu ouvrir leur manteau au lieu de se cacher dedans – et rencontrer Dieu face à face, et le scruter, et l’expliquer. Et c’est Dieu qui s’est caché… comme dans le Cantique des Cantiques, pour que nous le cherchions comme l’épouse (« j’ai cherché celui que mon cœur aime » : ce n’est pas avec son intelligence scrutatrice, qu’elle cherche le bien-aimé, car elle ne le trouverait sans doute jamais…), cette épouse en qui résonnent les paroles du Ps. 104 :
« …invoquez Son Nom, chantez-Le, jouez pour Lui, méditez sur toutes Ses merveilles ; cherchez Sa face constamment … » et plus loin : « … Il déploya une nuée comme un voile, et un feu pour éclairer la nuit ».
Mon cher Thierry, je ne comprends pas votre recherche ; elle me semble emprunter des chemins si inutilement fastidieux ! Alors qu’il suffit en effet d’invoquer Son Nom . Pascal déjà le savait si bien que c’est à l’intérieur du voile, de la nuée, du manteau (de la grotte) qu’un Feu survient enfin pour éclairer notre nuit !… Pourquoi ce sempiternel besoin de preuves tangibles, d’analyses scholastiques qui ont si bellement égaré le patriarcat romain et ses « brillants théologiens » - brillants jusqu’à la cécité, à la surdité, à l’absurde?
N'ayez crainte : le Feu ne brüle pas.
Vous vous délectez à opposer la Parole de Dieu à la Parole de Dieu, et vous essayez de mesurer : «Scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera » à l'aune de : « Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre. Car le temps est proche. ». Alors qu’au lieu de tomber dans cette dialectique sans fin, il vous suffirait de faire un peu taire « la folle du logis », et de méditer ce qui nous a été dit par ailleurs, et qui suffirait déjà à réconcilier vos deux citations :
« Il est bien de cacher le secret du Roi, … mais il est mieux de le révéler ».
Je suis persuadé que notre Père, « qui voit dans le secret » vous en « récompensera »…
Et ne perdez pas trop de temps à m’expliquer que le Livre de Tobie est deutérocanonique, ni que les Juifs l’ont exclu de leur canon des Écriture. Je suis au courant.
C’est même ce qui fait son intérêt, pour moi.
Vous raisonnez, Thierry, vous n’écoutez pas. Votre raisonnement est d’une telle logique qu’il en devient assourdissant. Mais Dieu n’est pas dans la tempête de l’intelligence des hommes, ni dans le bruit du tonnerre. Quand il se réfugia enfin dans une grotte de la montagne de Dieu, l’Horeb, notre père Élie l’a appris (à notre usage) : YHWH n’était pas dans le vent violent et fort, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu – mais dans le son d’une brise légère. Et « dès qu’Élie l’entendit, il se voilà la face de son manteau, sortit et se tint à l’entrée de la grotte ; et voici qu’une voix lui parvint… ».
Il y a des connaissances qui ne sont pas dans les accumulations, ni les assertions ni les recoupements de l’intelligence humaine : il nous est bon, pour ce qui est de la Parole de Dieu, de nous tenir humblement à l’entrée de notre grotte et de nous voiler la face. C’est probablement la raison du sens originel de notre signe de croix, de l’épaule droite à l’épaule gauche : nous refermons sur nous le manteau de notre père Élie ; et alors, nous pouvons entendre le son de la brise légère. Si cela est, alors nous devinons un peu pourquoi les chrétiens mal menés, en Occident, ont inversé le sens de leur Signe distinctif : en se signant de l’épaule gauche à l’épaule droite, ils ont voulu ouvrir leur manteau au lieu de se cacher dedans – et rencontrer Dieu face à face, et le scruter, et l’expliquer. Et c’est Dieu qui s’est caché… comme dans le Cantique des Cantiques, pour que nous le cherchions comme l’épouse (« j’ai cherché celui que mon cœur aime » : ce n’est pas avec son intelligence scrutatrice, qu’elle cherche le bien-aimé, car elle ne le trouverait sans doute jamais…), cette épouse en qui résonnent les paroles du Ps. 104 :
« …invoquez Son Nom, chantez-Le, jouez pour Lui, méditez sur toutes Ses merveilles ; cherchez Sa face constamment … » et plus loin : « … Il déploya une nuée comme un voile, et un feu pour éclairer la nuit ».
Mon cher Thierry, je ne comprends pas votre recherche ; elle me semble emprunter des chemins si inutilement fastidieux ! Alors qu’il suffit en effet d’invoquer Son Nom . Pascal déjà le savait si bien que c’est à l’intérieur du voile, de la nuée, du manteau (de la grotte) qu’un Feu survient enfin pour éclairer notre nuit !… Pourquoi ce sempiternel besoin de preuves tangibles, d’analyses scholastiques qui ont si bellement égaré le patriarcat romain et ses « brillants théologiens » - brillants jusqu’à la cécité, à la surdité, à l’absurde?
N'ayez crainte : le Feu ne brüle pas.
Vous vous délectez à opposer la Parole de Dieu à la Parole de Dieu, et vous essayez de mesurer : «Scelle le livre jusqu'au temps de la fin. Plusieurs alors le liront, et la connaissance augmentera » à l'aune de : « Ne scelle point les paroles de la prophétie de ce livre. Car le temps est proche. ». Alors qu’au lieu de tomber dans cette dialectique sans fin, il vous suffirait de faire un peu taire « la folle du logis », et de méditer ce qui nous a été dit par ailleurs, et qui suffirait déjà à réconcilier vos deux citations :
« Il est bien de cacher le secret du Roi, … mais il est mieux de le révéler ».
Je suis persuadé que notre Père, « qui voit dans le secret » vous en « récompensera »…
Et ne perdez pas trop de temps à m’expliquer que le Livre de Tobie est deutérocanonique, ni que les Juifs l’ont exclu de leur canon des Écriture. Je suis au courant.
C’est même ce qui fait son intérêt, pour moi.
< Demeurons dans la Joie. Prions sans cesse. Rendons grâce en tout... N'éteignons pas l'Esprit ! >